Les liens silencieux s’inspirent de belles rencontres vêcues,
La première avec une danseuse Butô, mouvement, lenteur, grace; la deuxième est une rencontre avec une artiste textile aujourd’hui décédée à travers une oeuvre que l’on m’a offerte, mettre en volume sa broderie, un travail à « 4 mains ».
Tout part d’une émotion visuelle, une bouffée d’oxygène qui va nourrir ma création.